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Et tu n'es pas revenu
Auteur principal: | Marceline Loridan-Ivens |
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D'autres auteurs: | Judith Perrignon |
Support: | Livres |
Langue: | Francais |
Publié: |
DL 2015 Bernard Grasset Paris |
Genre: |
Roman |
Sujets: | |
Étiquettes: |
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210 | |a Paris |c Bernard Grasset |d DL 2015 | ||
215 | |a 1 vol. (106 p.) |d 19 cm | ||
330 | |a «Toi tu reviendras peut-être parce que tu es jeune, moi je ne reviendrai pas», lui a dit un jour son père, alors qu'à Drancy, au début de l'année 1944, ils attendaient, parmi des centaines, des milliers d'autres Français juifs, le convoi qui allait bientôt les emmener vers l'est... Et tu n'es pas revenu est ainsi une lettre au père, dans laquelle Marceline Loridan-Ivens - à quatre mains avec la journaliste et romancière Judith Perrignon - raconte à celui qui n'est pas rentré sa propre captivité, son retour en France, sa vie d'après. Plus exactement, l'impossibilité d'une vie après. Le constat est laconique, tranchant, sans nul espoir, et Marceline Loridan-Ivens le dresse inconsolée, mais les yeux secs... (Nathalie Crom - Télérama du 4 février 2015) Marceline Loridan-Ivens signe Et tu n'es pas revenu, soixante-dix ans de remémoration sans un mot en trop. Elle a 86 ans et elle regrette le temps qui passe. Pas celui qui la rapproche de sa propre fin ; non, c'est bien plus grave ; elle regrette le temps qui la ramène aux pires heures de sa jeunesse, le temps de l'antisémitisme éternel et réinventé, le temps de la violence barbare, le temps des rejets, celui de ces enfants d'aujourd'hui qui font grincer leur stylo pour ne pas entendre son témoignage sur Auschwitz-Birkenau. Si certains mots ne sont plus audibles, gravons-les sur des feuilles de papier, pixélisons-les dans des mémoires informatiques ! Ceux de Marceline Loridan-Ivens, mis en scène par Judith Perrignon, ont une force exceptionnelle. Il faudrait les lire entouré du recueillement qui convient, mais en fait peu importe : dès la première ligne, le silence se fait, plus rien ne compte jusqu'à la dernière ligne, et ces mots, nul ne pourra les oublier. On a pu croire qu'après Primo Levi, après Robert Antelme, après Claude Lanzmann, tout était dit. Marceline Loridan-Ivens nous prouve le contraire. La force de son texte, c'est cette colère et cette douleur intactes, amplifiées même par "ce temps qui ne passe pas", pour reprendre le beau titre de J.-B. Pontalis. (Patrice Trapier - Le Journal du Dimanche du 1er février 2015) Soixante-dix ans après, elle publie donc ce petit livre d'une rare intensité, écrit avec la complicité de la romancière Judith Perrignon. Et tu n'es pas revenu s'adresse à son père, qui, lui, n'a pas échappé aux bourreaux nazis d'Auschwitz-Birkenau. Imprimé par Grasset à 13.000 exemplaires, il a très vite attiré de nombreux lecteurs. Il faut dire que Marceline est infatigable et combative : son esprit libre et sa verve ont séduit tous les médias. Son témoignage est d'une force extraordinaire... Marceline Loridan-Ivens, malgré la noirceur des événements, fuit tout pathos. (Mohammed Aïssaoui - Le Figaro du 19 février 2015) Inconsolable et gaie, telle est Marceline Loridan-Ivens, la petite fille qui revint des camps. Ce voyage au coeur de l'enfer qu'elle écrit avec la journaliste Judith Perrignon, est porté par cette puissance que seule la gaieté, même contrariée, sait offrir. Voici le petit livre d'une grande dame. Plus qu'un témoignage, c'est une oeuvre littéraire. 110 pages qu'on lit en retenant son souffle. Marceline Loridan-Ivens avait 15 ans lorsqu'elle fut arrêtée avec son père par la Milice. Elle est revenue des camps de la mort. Pas son père. Soixante-dix ans après les faits, elle lui écrit. Une lettre qu'il ne lira pas et qui dit, sur un ton pudique et calme, l'indicible... Inconsolable et gaie : et c'est ainsi que Marceline est grande. (François Busnel - L'Express, février 2015) | ||
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