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Pays noir
Bois du Cazier, mémoires d'un charbonnage
| Auteur principal: | Sergio Salma |
|---|---|
| D'autres auteurs: | Amelia Navarro |
| Support: | Livres |
| Langue: | Francais |
| Publié: |
2022 Kennes Loverval (Belgique) |
| Genre: |
Bandes déssinées ADULTE |
| Sujets: | |
| Étiquettes: |
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| Édition: |
Loverval (Belgique) |
|---|---|
| Importance matérielle: |
1 vol. (56p.)
22 cm
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| ISBN: |
978-2-38075-769-9 |
| Resumé: |
Cet album est un biopic. Mais pas le biopic d¹une célébrité ou d¹un personnage historique remarquable, c¹est le biopic d¹un charbonnage. Et qui pouvait mieux raconter son histoire que lui-même ? La mythologie des gueules noires est née au XIXe s. avec la révolution industrielle. La Belgique fut à cette époque la deuxième puissance économique mondiale après l¹Angleterre. La raison de cette richesse tient en un mot : charbon. Le premier or noir. Ce charbonnage n¹est pas n¹importe quel charbonnage, son nom est étrange : le Bois du Cazier. Il a été rendu tristement célèbre à cause d¹une tragédie en 1956. 262 victimes. Aujourd¹hui, c¹est devenu un musée, un lieu de mémoire. 2022, ce sont trois anniversaires pour cette mine. Les dix ans du classement au patrimoine mondial de l¹UNESCO, les vingt ans du mémorial et les deux cents ans des débuts de la concession charbonnière. Le Bois du Cazier est un personnage qui a traversé deux siècles. Si le point culminant est la tragédie d¹août 56, cette mine a une histoire parallèle, celle de la révolution industrielle au milieu du XIXe s., des revendications sociales, des changements de société, de la culture européenne naissante, de l¹immigration. Symbole ultime de cette course économique, de la richesse des uns, de l¹extrême pauvreté des autres, du développement de la nation belge. Et puis son déclin. L¹album raconte la vie d¹un charbonnage, son agrandissement, ses modernisations successives[xe2][x80][xa6] Dangers à tous les étages, luttes et accidents, course à la productivité mais aussi camaraderie et héroi[u0308]sme au quotidien. L¹histoire débute par une visite scolaire du mémorial. En d¹autres temps, des enfants y ont travaillé.. |